A. Seith Ridley ✗ You love someone, and the next day... she's gone.

Archer Seith Ridley

« Wearing those glasses so I can't see ; That I am alone and I will always be. »

Salut, moi c'est Archer Seith Ridley, mais les gens m'appellent le mec bizarre qui discute avec les chats, J'ai 18 ans, Je suis né(e) le 03/01/1995 à Paris. Je suis actuellement célibataire et ça me plaît. Je fait partie du groupe des Scar. On me caractérise souvent comme calme et mystérieux, et c'est plutôt cool, mais je suis aussi bizarre, solitaire et borné, ce qui est moins bien. Les gens me confondent souvent avec Jackson Rathbone et mon pouvoir est la métamorphose animale.

Histoire

Un père. Une mère. Toutes les histoires commençaient ainsi, la sienne ne faisait pas exception. Un américain. Une française. À la fois peu commun et terriblement cliché, mais ils le vivaient bien, se moquant de l'accent l'un de l'autre jusqu'à ce qu'ils en viennent à parler avec le même accent bizarre - à moitié français pâteux, à moitié anglais bafouillé. L'important ici, c'est qu'ils se comprenaient et s'assemblaient. Tous deux avaient soif de voyages, d'amour et d'aventure. Ils ne tardèrent pas à s’énamourer. Ils se marièrent en France, retournèrent en Amérique, puis revinrent à nouveau en France lorsqu'elle tomba enceinte, sans jamais parvenir à décider de l'endroit où ils finiraient leurs jours. Le temps des fêtes vint rapidement, et alors qu'Éléonore et Dereck se remettaient tant bien que mal de leur réveillon du nouvel an, Nellie fut prise de court par sa grossesse. Ainsi Archer Seith Ridley vit-il le jour, dans un hôpital de Paris, deux jours après le réveillon du nouvel an.

Les années défilèrent, à la fois trop lentes et trop rapides. Archer intégra les bancs d'école, et, progressivement, changea. Un soir de novembre, deux ans plus tard, remarquant l'appétit grandiose de son petit et sa maigreur nouvelle, Nellie s'assit à son coté. "Alors, comment a été l'école ?" La réponse d'Archer fut rapide et évasive ; "Bien. Pourquoi !?". Éléonore fut trop soufflée et peinée pour répondre. Pour la première fois depuis des lunes, elle observa son fils d'un œil plus avisé que l’œil parfois vague d'une mère qui refuse de voir que son enfant souffre. Il semblait épuisé, décharné, et était secoué de tics qu'il n'avait pas avant. Elle eut avec lui la plus déchirante des discussions, et ne parvint à soutirer de Seith qu'une partie de la vérité : on ne l'acceptait pas là-bas. Ce soir là, Nellie promit à son fils qu'il n'aurait pas à retourner à l'école le lendemain, fit de son mieux pour lui changer les idées jusqu'à l'heure du coucher et en toucha deux mots à Dereck lorsque celui-ci fut rentré. Son mari lui conseilla ce que tous lui conseillèrent : relaxe, explique lui comment réagir, ait confiance et tout se rétablira. Mais rien ne se rétablit. Au contraire. Trois semaines plus tard, Archer revint la lèvre en sang, les membres écorchés. Il refusa tout net de raconter à ses parents ce qui s'était produit, mais Nellie n'était pas dupe. Seith effectua à la suite de ces évènements son premier changement d'école. Mais pas son dernier. Tannés d'arpenter les diverses institutions scolaires Françaises, ils tentèrent le coup aux États-Unis, sans plus de succès : quoiqu'il fasse, Archer se révélait toujours être la cible des jeunes de son âge. À la maison, tout empirait. Nellie et Dereck se disputaient face au sort d'Archer et celui-ci devenait de plus en plus distant, étrange, renfermé.

Ils s'installèrent en Irlande sur un conseil de Suzan, la sœur aînée d'Éléonore, qui affirmait qu'il serait bon pour la famille de repartir sur un terrain neutre. Seith avait alors douze ans. La petite famille s'installa dans une maison sympathique et vieillotte, nichée dans un quartier tranquille. Le propriétaire avertit Dereck que les chats avaient tendance à se masser dans la cour arrière, pour l'unique raison que le vieil homme qui l'habitait avant les nourrissaient continuellement. À la blague, l'Américain rétorqua que ce serait pratique pour la chasse. Il cessa cependant de rigoler en apercevant les dix-sept chats miaulant depuis la lucarne de la cuisine. "J'en ai marre !" déclara-t-il un matin avant de filer pour une entrevue, "Si ces satanés matous ne se calment pas, je fais venir l'exterminateur." Il se ravisa néanmoins dès son retour, quand Éléonore le précipita à la fenêtre. Archer avait, pour une fois, mis le nez dehors. Assis au beau milieu des chats, il discutait avec eux comme jamais il n'avait discuté avec personne. L'expression nouvelle qui cinglait son visage fit monter les larmes aux yeux de ses parents : il souriait. À partir de ce moment, quand bien même il passait des journées merdiques à la suite desquelles il revenait blessé ou assombri, Seith n'avait qu'à côtoyer ses chats pour reprendre du poil de la bête. Il sortait leur taper la discute été comme hiver, et survécut à toutes sortes de mésaventures grâce à eux.

Puis, il fut confronté à une épreuve effarante. Les voisins d'à coté, trop vieux pour s'occuper de leur maison plus avant, déménagèrent. Une famille eût tôt fait de s'installer là. Famille parmi laquelle une jeune adulte, une jolie jeune femme de vingt-deux ans, résidait. Contrairement à tous ces gens qui trouvaient Seith, désormais âgé de dix-huit ans, étrange et brûlaient d'envie de l'insulter, elle, décida de braver les mystères et de devenir... son amie. Il se souvient encore des premiers mots qu'ils avaient échangé ; "Qui es-tu ?" Elle. Cassandra. À qui l'habitude et la souffrance répondit. "Quelqu'un d'affreux. Regarde ailleurs." "Je te trouve plutôt mignon." "Je suis étrange." "Tu sembles... intéressant." Et bam. Et paf. Et aïe. Surtout aïe. Aïe car dès la minute où elle prononça ces mots, il en fut épris. Aïe parce qu'il fit tout pour elle. Aïe parce qu'elle était trop vieille. Aïe parce que le lendemain de la soirée magique au cours de laquelle ils échangèrent leur premier baiser, elle disparut. Comme ses parents. Comme les autres. Aïe parce qu'à nouveau, il était seul au milieu des chats. Il décida d'y rester. De s'ancrer auprès d'eux, auprès des animaux qu'il croisa. Si bien qu'à force, il en devint un lui-même, troquant sa peau humaine pour une peau animale lorsque tout devenait trop sombre...

Caractère

"Pour qu'un psychologue puisse t'aider, tu dois d'abord le laisser te cerner. Apprend-lui qui tu es." Il n'était pas d'accord, pas vraiment. Mais il lui faisait tant confiance... Il l'aimait tellement, tellement qu'il avait accepté de tout dévoiler à ce pur étranger. Il ne savait tellement pas s'y prendre. Il avait tellement peur de se faire juger, qu'il finit par adopter sa méthode préférée, à elle. L'écriture. Voici ce qu'il inscrivit :

« En général, je me fiche comme d'une guigne de l'avis des autres. Sauf, bien sûr, quand ceux-ci se mettent à m'insulter. Alors, je réagis comme à peu près tout le monde ; je laisse couler en m'efforçant de ne rien laisser paraître de mes émotions, je ravale ma souffrance et je m'escrime à garder la tête haute. Mais ce n'est pas toujours facile. Je ne me suis jamais véritablement autorisé à craquer avant, alors j'ignore ce qui se produira le jour où j'en aurai marre de me faire marcher dessus. En attendant, je laisse glisser ces injures comme l'eau sur les plumes d'un canard. Ce n'est pas bien, mais je ne vois pas d'autre solution. En parler ? Je l'ai fait. Ça ne m'a rien apporté de positif : que de l'inquiétude de la part de mes parents et des sermons de la part des adultes qui m'entourent. Sinon, mis à part le fait d'être un aimant à merde, je suis plutôt du genre calme et, je dois l'avouer un peu étrange. Je préfère cent fois la compagnie des animaux à celle des humains. Pourquoi ? Parce qu'ils sont muets. Et simples. Ils ne jugent personne. Je n'ai ni besoin de faire mine d'aller bien, ni besoin de ravaler mes larmes auprès d'eux. Je ne pleure pas souvent, mais... Enfin. Il y a peu de temps, j'ai dû faire face à un sentiment nouveau. L'amour. C'est différent de l'attachement. Trop déroutant pour moi. J'ai peur, parfois. Constamment. Peur non seulement qu'elle me laisse tomber, mais qu'elle se rende compte qu'au fond, je ne suis rien. Rien du tout. Rien qu'un mec étrange qui ne sait pas comment se faire - et conserver - des amis. J'ai peur que les gens finissent par trouver mieux et me lâcher, ce qui m'amène à être... légèrement possessif. Peut-être étouffant, je ne sais. Je n'arrive plus à me contrôler en présence des autres. Je ne sais jamais ce que je dois et peux dire, et ce que je devrais éviter d'énoncer... Ça me rend malade. Ça écarte les seules chances que j'ai d'être... normal. »

Il n'avait rien trouvé d'autre et s'était arrêté là. Depuis l'apparition du globe et la perte du seul être qu'il aimât plus que ses propres parents, il craint de s'attacher à nouveau. Tout a changé, si bien qu'il est, si possible, plus perdu face aux autres qu'avant, ne sachant plus à qui faire confiance. Pour ce qui est du pouvoir, ça, il aime. Il s'agit, pour lui, du seul soulagement dans cette pagaille. Le seul moment où il peut éviter d'être humain, de penser.

Behind the computer

Je me présente, je m'appelle Magiik et je suis âgé(e) de 20 ans. J'ai trouvé le forum grâce à ma meilleure amie d'amour (Meriiiiiiii x3) ♥ et je le trouve pas mal du tout et je sais que le code est Seuls. Danger. Dieux.

(c) Suika

*cour vers elle lui saute dans les bras* ma beeeeeeeeeeeest ! Je t'adore ! Bienvenue ! A. Seith Ridley ✗ You love someone, and the next day... she's gone. 3369837074

A. Seith Ridley ✗ You love someone, and the next day... she's gone. 3369837074

*hug*

*la lâche. Regarde son personnage* Wow, j'aime beaucoup ! Il nous faut un lien à coup sûr !... Quand on sera validé ! ^^

Ma chéwiiiiiiiiiiiiie ! ** A. Seith Ridley ✗ You love someone, and the next day... she's gone. 1282763617

Huhu, merci !
Tellement ! A. Seith Ridley ✗ You love someone, and the next day... she's gone. 1527435233

De rien ! ^^
Tu as vue ça ! A. Seith Ridley ✗ You love someone, and the next day... she's gone. 943701125

Messages : 128 Points : 4687 Date d'inscription : 19/01/2013

Ca m'a l'air bon, tu est donc accepté chez les scar, et étant le premier membre officiel, tu en devient le chef! (donc tu est désormais, ou bientôt modérateur de la partie concernant les scar)